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Notre vision, nos espoirs
Notre vision
Nos espoirs
À l’approche de notre retraite, nous avons décidé de réaliser un rêve, qui a mûri au fil des années (6 ans au total) : un tour du monde à la voile sur un catamaran; un Fountaine Pajot Astrea 42, que nous avons prénommé Kailani, ce qui signifie en hawaïen Océan « Kai » et Ciel « Lani ». Ce projet, conçu dans la joie de notre cœur, symbolise notre soif d’aventure, notre volonté de goûter à la diversité qui colore notre monde et notre amour de plus de 35 ans.
Ce tour du monde ne sera pas simplement une aventure physique, mais une exploration de l’âme et de la richesse humaine. Nous espérons rencontrer des personnes aux horizons variés, partager des récits de vie, et tisser des liens d’amitié qui transcendent les frontières géographiques. Dans cette nouvelle phase de notre vie, nous embrassons cette opportunité comme une déclaration vivante que la vie continue à dévoiler ses mystères lorsque l’on ose aller au bout de ses rêves et que l’on écoute son cœur plutôt que ses peurs.
Si notre aventure vous parle, rejoignez nous sur nos diverses plateformes, nous nous ferons une joie d’échanger avec vous !
Pour la petite histoire…
Pour la petite histoire, il nous faut vous raconter comment ce projet a pu germer en nous. Comme déjà expliqué, si Patrick avait déjà le pied marin, Valérie était farouchement opposée à toute navigation, pour plus de quelques heures, sur un bateau. Nous avions donc comme projet de retraite de trouver une jolie maison en bord de mer, dans un pays chaud.
Notre première idée fut le Brésil, plutôt au nord-est. Beaucoup, beaucoup de vent pour Patrick et son kitesurf, beaucoup, beaucoup trop de vent pour les migraines de Valérie. En plus, la distance était assez grande et les hôpitaux pas nombreux dans cette région. Exit le Brésil.
Pourquoi pas le Costa Rica, notre 2ème idée. On l’appelle la « petite Suisse », plutôt séduisante dans sa sécurité, avec des plages magnifiques et une faune incomparable ! Cela semblait l’idéal… Oui, mais. Déjà très courtisée et colonisée à cette époque, les prix des maisons flambaient et nous n’avons pas ressenti le coup de cœur attendu, du moins pour y vivre.
Prochaine idée, on se rapproche de l’Europe. Le Portugal nous semblait une bonne alternative… Nous planifions un itinéraire en suivant la côte entre Lisbonne et Faro. Effectivement magnifique, mais là encore, beaucoup beaucoup trop de vent sur le côte Atlantique, sauf que cette fois il s’agit d’un vent assez froid et d’un océan qui ne dépasse pas les 15°. Quant à l’Algarve, nous avons clairement compris que nous avions 20 ans de retard; les prix avaient déjà explosés, la langue était encore plus compliquée qu’au Brésil et il y avait une surpopulation en Algarve. Pas de déclic, encore raté.
Dernière tentative, pourquoi pas l’Andalousie ! Ces immenses plages, ces chevaux et ses taureaux ! Et bien non, encore une déception, nous y sommes allés en octobre et presque tout était fermé. La saison était passée et nous avons ressenti un sentiment de vide en parcourant diverses petites villes ou villages, même si certains villages blancs, plus dans la montagne, étaient vraiment magnifiques. Après avec séjourné deux, trois jours à Tarifa, la Mecque du Kitesurf et un village très bohème que nous chérissons, nous avons continué en direction de Cadix. A mi-chemin, nous nous sommes arrêtés. En contrebas, il y avait une marina et, depuis la balustrade, nous avons vu passer un superbe catamaran. Il était seul et glissait sur l’eau majestueusement dans le soleil éclatant de l’après-midi. L’air innocent, Valérie a dit : « Là-dessus, je pourrais vivre ! » Il n’en fallait pas plus à Patrick pour que cette idée, à priori saugrenue, s’implante profondément. Le soir même, dans notre Airbnb, en faisant nos recherches sur Internet, nous avons compris que cette idée était tout à fait réalisable. C’était il y a 6 ans de cela et jamais plus nous n’avons douté de notre choix. Le cœur avait parlé; il ne nous restait plus qu’à accomplir ce projet grandiose.
Pour la petite histoire…
Pour la petite histoire, il nous faut vous raconter comment ce projet a pu germer en nous. Comme déjà expliqué, si Patrick avait déjà le pied marin, Valérie était farouchement opposée à toute navigation, pour plus de quelques heures, sur un bateau. Nous avions donc comme projet de retraite de trouver une jolie maison en bord de mer, dans un pays chaud.
Notre première idée fut le Brésil, plutôt au nord-est. Beaucoup, beaucoup de vent pour Patrick et son kitesurf, beaucoup, beaucoup trop de vent pour les migraines de Valérie. En plus, la distance était assez grande et les hôpitaux pas nombreux dans cette région. Exit le Brésil.
Pourquoi pas le Costa Rica, notre 2ème idée. On l’appelle la « petite Suisse », plutôt séduisante dans sa sécurité, avec des plages magnifiques et une faune incomparable ! Cela semblait l’idéal… Oui, mais. Déjà très courtisée et colonisée à cette époque, les prix des maisons flambaient et nous n’avons pas ressenti le coup de cœur attendu, du moins pour y vivre.
Prochaine idée, on se rapproche de l’Europe. Le Portugal nous semblait une bonne alternative… Nous planifions un itinéraire en suivant la côte entre Lisbonne et Faro. Effectivement magnifique, mais là encore, beaucoup beaucoup trop de vent sur le côte Atlantique, sauf que cette fois il s’agit d’un vent assez froid et d’un océan qui ne dépasse pas les 15°. Quant à l’Algarve, nous avons clairement compris que nous avions 20 ans de retard; les prix avaient déjà explosés, la langue était encore plus compliquée qu’au Brésil et il y avait une surpopulation en Algarve. Pas de déclic, encore raté.
Dernière tentative, pourquoi pas l’Andalousie ! Ces immenses plages, ces chevaux et ses taureaux ! Et bien non, encore une déception, nous y sommes allés en octobre et presque tout était fermé. La saison était passée et nous avons ressenti un sentiment de vide en parcourant diverses petites villes ou villages, même si certains villages blancs, plus dans la montagne, étaient vraiment magnifiques. Après avec séjourné deux, trois jours à Tarifa, la Mecque du Kitesurf et un village très bohème que nous chérissons, nous avons continué en direction de Cadix. A mi-chemin, nous nous sommes arrêtés.
En contrebas, il y avait une marina et, depuis la balustrade, nous avons vu passer un superbe catamaran. Il était seul et glissait sur l’eau majestueusement dans le soleil éclatant de l’après-midi. L’air innocent, Valérie a dit : « Là-dessus, je pourrais vivre ! » Il n’en fallait pas plus à Patrick pour que cette idée, à priori saugrenue, s’implante profondément. Le soir même, dans notre Airbnb, en faisant nos recherches sur Internet, nous avons compris que cette idée était tout à fait réalisable. C’était il y a 6 ans de cela et jamais plus nous n’avons douté de notre choix. Le cœur avait parlé; il ne nous restait plus qu’à accomplir ce projet grandiose.

“Naviguer est une activité qui ne convient pas aux imposteurs. Dans bien des professions, on peut faire illusion et bluffer en toute impunité. En bateau, on sait ou ne sait pas. Malheur aux tricheurs. L’océan est sans pitié.”

“Le plus beau moment de la vie humaine est un départ vers des terres inconnues. Toute personne ayant déjà effectué un périple dans des contrées autres que les siennes en garde forcément de bons souvenirs !”

“La mer est un espace de rigueur et de liberté.”

“Il n’y a pas besoin de courage pour faire ce que l’on aime.”